Bêtes Sauvages
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 NOT READY TO MAKE NICE

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Golden
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Golden


Messages : 295
Date d'inscription : 26/07/2010

NOT READY TO MAKE NICE Empty
MessageSujet: NOT READY TO MAKE NICE   NOT READY TO MAKE NICE EmptyMar 3 Déc - 15:08

NOT READY TO MAKE NICE 441183sora
SORA CLARKS - 18 ans
Nom: Clarks
Prénoms: Julianne Sora
Âge: 18 ans
Sexe: Féminin
Parents: Erendus Clarks (incarcéré) et Julianne Dempsey (décédée)
Rang: Apprentie-Soldat (Équipe Bleue)

Description Physique: 5'8'', 135 livres, peau blanche. Longs cheveux violets et yeux bleus. Bonne musculature mais force limitée.
Forces: Excellente tireuse, vise avec un incroyable et grande agilité au combat, rapide et endurante. Très bonne mémoire, mais lenteur dans les travaux scolaires.
Faiblesses: Force très peu développée, combat très limité à mains nues. Prend beaucoup de temps à étudier et à faire ses travaux.

Personnalité: Distante - Méfiante - Solitaire - Blessée - Souriante - Positive - Déterminée - Bosseuse - Orgueilleuse - Combattive - Généreuse - Justicière - Sociable (quand elle s'en donne la peine) - Bon sens de l'humeur - Énergique - Studieuse - Aime s'amuser - Moqueuse - N'aime pas l'autorité - Se méfie des garçons.
Goûts: La bonne nourriture - la lecture - le tir - rire - la nature - étudier - apprendre - le chocolat chaud et autres sucreries - la musique - les Pokémon
Dégoûts: Les jugements trop précoces - les araignées - les garçons (pour la plupart)

Équipe Pokémon:
Vanil / Axew ♀ / Mold Breaker / Joviale
Équipement:
• Armure d'apprenti
• Poké Ball x5
• Full Restore x3
• Kit de survie
-Sac de couchage et tente
 -Nourriture déshydratée
 -Casseroles
 -Gourde
 -Corde
 -Briquet
 -Autres
• Pistolet plasma
• Couteau

Histoire Personnelle: À priori, j’ai plutôt raté le seul événement dans une vie où on est à peu près certain de réussir : notre naissance. Déjà, tout se liguait contre moi, tous se disaient que je ne devrais pas exister et ils avaient probablement raison. Vous connaissez probablement le cas d’Erendus Clarks? Ce jeune soldat qui a révolutionné notre façon d’appréhender l’ennemi, celui qui s’est hissé au sommet à un si jeune âge, la coqueluche d’une nation. Le sauveur d’une colonie complète d’humains sur terre de la perdition la plus totale. Eh bien, vous savez ce qu’on dit toujours. Plus ils montent haut, plus vite ils s’écrasent. Sa première erreur : il est tombé amoureux de ma mère. Elle n’était qu’une pauvre apprentie éperdue d’amour devant la vedette qu’il était, cet homme que tous estimaient. Leur relation secrète n’attira pas l’attention tout de suite, sauf quand il devint trop difficile de cacher le ventre distendu de la jeune femme qui, dans les faits, devait prendre une médication sévère et une contraception tous les jours, compte tenu de sa place dans l’Organisation. Vous pouvez bien imaginer le bahut. Julianne était enceinte, enceinte! On avait plus vu de femmes enceintes depuis… depuis l’installation des humains sur la plateforme centrale.

Vous savez donc comment sont considérés les bébés dits «naturels», les non-éprouvettes. La colère et l’indignation s’abattit sur le jeune couple, mais, forts dans leur décision de mettre cette grossesse à terme, ne se laissèrent pas abattre. Ou du moins… c’est ce que pensait mon père. Julianne tomba rapidement malade, épuisée par cette pression incessante de ses pairs et de l’Organisation qui menaçait de le jeter hors du programme si elle n’offrait pas son bébé au système, là où elle savait… là où elle savait qu’il serait détruit. Elle m’a toujours protégée, et elle s’est tuée en chemin puisqu’elle mourut alors que je n’avais que trois ans d’un mal inexpliqué qui ressemblait beaucoup à une pneumonie. Mon père ne s’en releva jamais complètement, même que je pense qu’à ce moment, il perdit totalement la raison. Et moi j’étais coincée à vivre avec lui alors que, croyez-moi, j’aurais bien préféré être laissée seule.

Je ne me suis jamais entendue avec lui. Peut-être lui reprochais-je ma mise au monde, ou sa popularité. Dès mes premières années d’école, un fossé étonnant se créa entre moi et les autres jeunes de mon âge et j’avais beau tendre les bras, personne ne pouvait me sauver de ma solitude. Je m’isolais de plus en plus, pour éviter les méchancetés des autres enfants, qui se montraient de plus en plus insistantes à mesure que je grandissais. Je cherchais désespérément un ami jusqu’au jour où je cessai complètement d’y croire. Mon seul réconfort? Ma grand-mère paternelle qui s’occupait de moi la grande majorité du temps. Même si elle n’approuvait nullement les actions passées de son fils, elle au moins avait la décence de ne pas me juger pour ce dont je n’ai jamais été responsable. Tati Irna me protégeait, me berçait. Elle me fit connaître la musique et les Pokémon, elle me donna envie de devenir un soldat de l’Organisation moi aussi, de marcher non pas dans les pas de mon père mais dans les siennes, elle qui avait été l’une des premières à combattre les monstres d’en bas. Près d’elle, je trouvais la force de continuer malgré ma douleur et surtout, de m’appliquer sagement à l’école. D’élève inattentive et rêveuse, je devins l’une des plus douées, les plus appliquées.

Vers neuf ans, elle m’emmenait avec elle au champ de tir et je me pratiquais avec elle. J’aimais tirer. Cette action me défoulait et alors je me remettais à rêver de mon avenir. Les meilleures écoles m’arrachaient lorsqu’il fut temps pour moi de choisir mon collège. J’étais déjà pressentie comme l’une des plus brillantes, l’élite. J’avais tout ce qu’il fallait pour devenir une soldate. Mon adolescence ne fut que… Travail. Pour éviter mes semblables, je me jetais dans mes études, là où je trouvais toujours du réconfort, évacuant mes frustrations au champ de tir, développement mes compétences par le fait même. Si je vous dis ne jamais avoir d’amis, je mentirais, cependant. Il y avait Clara, une jeune fille si douce qu’elle oublia aussitôt ce nom maudit que je portais, pour m’ouvrir son cœur. Elle-même était plutôt récluse du groupe compte tenu de sa grande timidité. Nous nous entendions à merveille.

Sans elle, j’aurais peut-être bien fini par sauter dans l’espace, dans ce vide noir qui m’a si souvent appelé. Je n’avais que treize ans et des poussières quand l’incident se produisit. Mes relations avec mon père s’étaient d’autant plus dégradées depuis qu’il trouvait réconfort dans la bouteille. Je le haïssais. Je le détestai d’autant plus quand il fut impliqué dans un accident de vaisseau qui causa la mort de plus de vingt de ses compatriotes soldats. Quand on le jeta en prison. Quand la honte s’abattit d’autant plus sur notre pauvre famille dont il ne nous a jamais rien épargné. Cette année fut la pire de ma vie. Vous pensez que je pourrais oublier en paix ce qui venait de se passer? D’avoir perdu mon père qui croupirait en prison pour au moins quinze années? On m’enferma dans mon casier, on me jeta mon plateau à la cantine, on me battu, on me cracha au visage à un tel point que les forces spéciales durent intervenir et me suivre pendant mon trajet vers l’école. J’étais traquée tel un animal et je ne savais plus comment m’en sortir.

Jusqu’à ce qu’ils me contactent. L’Organisation. À seize ans, j’avais été sélectionnée parmi des milliers d’adolescents pour recevoir les cours préparatoires à la vie d’apprenti-soldat. Enfin. On m’avait entendue, on me reconnaissait, malgré mon passé. Quelle ne fut pas ma joie immense quand j’appris que Clara aussi avait été choisie! Nous fûmes donc transférées à l’école des cadets en attendant le moment fatidique où nous passerions dans l’Organisation, si jamais cela se produisait un jour. J’excellais dans toutes les matières, surtout celles de tir et de pilotage, mais malheureusement, j’avais toujours des difficultés en combat, tant que je crains que cette faiblesse ne freine mon entrée dans l’Académie. Il n’en fut rien. Si Clara du rentrer chez elle, je fus acceptée. J’y étais finalement. Maintenant, je n’attends qu’une chose : que la rentrée se produise.
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